Le 8 septembre dernier, le Syndicat Chimie Energie Basse-Normandie tenait son congrès et réunissait une cinquantaine de militantes et militants, à Caen. La forte participation des sections syndicales est le signe de la vitalité du syndicat normand. Dans notre organisation, un congrès est toujours un moment intense de travail et d’émotions dans sa préparation et dans sa réalisation. Ce temps de démocratie interne a été aussi l’occasion de faire le bilan sur les actions menées par le syndicat, grâce au rapport d’activité, dans une mandature marquée par la pandémie de la Covid-19, et plusieurs mois de confinement, avec l’enjeu de conserver un lien avec les salariés et de continuer à faire vivre le dialogue social dans les entreprises. Le rapport d’activité a permis de faire un focus sur la formation syndicale au cours de la mandature et a été adopté à plus de 99 %. Ce congrès a donné lieu aussi à un débat émotionnellement fort, animé et riche d’échanges autour des violences sexistes et sexuelles au travail (VSST). Une partie de la journée a été consacrée à la présentation du projet d’orientation générale. Ce projet n’a pas fait l’objet d’amendements de la part des sections du syndicat, et  a été adopté à plus de 98 %. Ce congrès a été l’occasion de présenter à l’ensemble des participants l’institut de formation Idéforce et la certification « Qualiopi ». A l’issue du premier conseil de la mandature, Nicolas Brisset a été réélu en tant que secrétaire général. Félicitation et bravo à toute l’équipe !